Cette fois ci j'ai la flemme d'écrire tout un pavé sur ce jeu, donc je vous le dis tout de suite, la description viens d'
iciAvant de lire tout le copier coller, je vous donne mon avis vite fait...
Ce jeu C'est de la bombe !!!
Oui je sais il est sortit en 92, on avait tous (en tout cas moi 3ans) mais dès que je l'ai eu sur mon Amiga (hé hé ce PC aussi c'est de la bombe (et à l'époque j'avais déjà des jeux craqué par mes frères ^^)) on s'est tous mis à y joué...
Comme Tetris, ce jeu fera marcher vos méninges.
En bref, vous serez une fourmis et vous devrez pousser des dominos afin d'arriver au niveau suivant, facile à dire mais après 20 niveaux adieu la tranquillité !!!
Heureusement dans le dossier que je vous donnerez à télécharger, les mots de passes pour les niveaux vous aideront (quoique ^^ le niveau d'après étant encore + dure, ca sert à rien de triché niark)
Configu : laissez tomber, il ne pèse que 1.3 Mo
Note :
17/20 (parce que trop dure ^^, un super jeu pour son époque)
A télécharger ici :
PushoverPetite précision de dernière minute : Après avoir télécharger, dézippez, puis double cliquez sur
INSTALL.BAT, après avoir suivis les instructions, allez dans Poste de travail, disque C, Pushover, et Cliquez sur
PUSH.EXE... Bon Jeu
Dernière petit chose, si vous choisissez le clavier comme commandes, les touches sont :
Flèches Gauches, droites pour allez à gauche et à droite (logique),
Bas et haut pour monter et descendre,
Espace pour prendre un domino (ce mettre devant et faire espace)
Puis pour poussez le dominos, ce mettre à côté (flèche haut) puis poussez dans la direction souhaitée (espace + flèche gauche ou droite)
Voila, place au blabla
:: Push Over :: Garçon, 3 aspirines et un cognac ! - Par Hebus San - Captures : Kart Seven
Test
Vous rappelez vous les pubs de votre enfance ? Moi oui. Et particulièrement celle du sucre qui m’avait totalement ébloui à l’époque. Mais siiiii, celle avec des bouts de sucre qui tombe en cascade en faisant des figures pas possibles. Ben Push Over c’est le même principe. Pour les plus jeunes qui voient toujours pas, c’est Domino Day, mais sans Dave.
Push Over est un puzzle game, un vrai, venu d’une époque où le genre se vendait plutôt bien (lemmings, bubble bobble et j’en passe…). Et au sein des puzzle games, Push Over est un dur craint et respecté de tous. Vous allez comprendre.
Le scénario fait pitié, mais bon puisqu’il y en a un, autant en dire 2 mots. Vous incarnez une fourmi à la recherche du pognon d’un de vos copains rat militaire. Oui, pognon et militaire, les développeurs d’antan n’avaient pas les mêmes scrupules que ceux d’aujourd’hui (NDLA : mais ils étaient certainement moins faux cul). Et vous trouverez ces paquets de billets au hasard des tableaux dont vous résoudrez l’énigme.
Vous avez échoué au bac ? Les études c’est pas votre fort ? Vous accrochez sur les gros manuels plein de pages elles même pleines de mots ? Tranquillisez vous (quoique), Push Over est doté d’un concept ultra limpide, accessible à la dernière des tanches sous-cortiqués (vous en l’occurrence).
D’ailleurs le principe entier du jeu tient en un seul écran auquel vous accédez en appuyant sur le bouton start. Here you are ! 10 dominos différents ayant tous des propriétés particulières. Citons en vrac et en mauvaise traduction les disparaisseurs, les basiques, les faiseurs de ponts, les « qui-se-coupent-en-deux », les exploseurs, les retardés, les stoppeurs, etc etc…
Autant de possibilités qui combinées entre elles sur des tableaux riches de plusieurs dizaines de dominos vont rapidement vous donner le vertige.
Un seul but : faire tomber le « trigger » en dernier. A plat (si,si c’est capital dans certains niveaux). Deux contraintes : vous n’avez droit qu’à une seule poussée pour faire tomber le tout, et tous les dominos doivent être utilisés (sauf les stoppeurs qui ne tombent jamais). Le tout en déplaçant autant de domino qu’il vous plaira du moment qu’il y a une place libre, sans jamais toucher au « trigger ».
Et c’est parti pour les prises de tête à répétition. Si les 20 premiers niveaux sont essentiellement là pour vous familiariser avec les concepts généraux du jeu, les 80 restant sont clairement l’œuvre de sadiques particulièrement pervers. Certains stages vous retiendront des jours entiers pour trouver ce *$%*µ de domino de @* !!& qu’il faut déplacer. Au début il n’y aura souvent qu’un seul domino à bouger, mais à la fin c’est un pur cauchemar. J’avoue avoir craqué aux alentours du niveau 80. Mais je compte bien me rattraper ce tantôt.
Graphiquement c’est quelconque, et on s’en fout, cela n’a aucun intérêt dans ce genre de jeu. Musicalement c’est bien adapté, à savoir que vous allez rapidement prendre des suées d’exaspération en entendant la musique du niveau auquel vous êtes bloqué. Rassurez vous cependant, les suées cessent au bout de quelques temps pour céder la place au fredonnement compulsif maniaque dents serrés (avec grincement) de la dite musique. A ce stade là vous êtes mûrs pour le Psy. D’autant que cette petite putasse de fourmi ne se gênera pas pour vous relancer de ses « Hey » toutes les 5 secondes d’inactivité. Ne pensez pas au Baygon vert, j’ai essayé et ça marche pas. Crispant.
Ce qui crispe par dessus tout c’est qu’au bout d’un certain avancement dans les tableaux, vous aurez des 10aines de dominos à bouger. Et quand vous en oubliez un dans la cascade…. Rrrrrgggnnnnnnnnniiiiiiiiii !!!!!!!!!!! Heureusement il y a les tokens. Vous les gagnez en terminant un tableau normalement. Vous les utilisez pour revenir un instant avant la poussée (ça fait un peu « Les Visiteurs » je trouve) ou bien pour passer au level suivant si vous avez réussi mais en dehors du chrono. Ah bien sûr que c’est chronométré, je vous l’avais pas dit ? Oui, c’est un sadique certes pervers mais un sadique cohérent qui a réalisé le jeu.
Au final un jeu hyper attachant et surtout seul comme un poil pubien chez Kevin dans son registre. Bizarre quand on sait le succès commercial de ce jeu à l’époque, et les possibilités sans fin d’inventer de nouveaux tableaux, voire de nouveaux dominos. Enfin attachant si vous aimez le genre, sinon vous risquez de détériorer votre récepteur de contrôle (comme dirait Thierry « gnôle » Roland) lors d’un accès de colère bien légitime. Petit reproche néanmoins, la replay value est proche de 0, sauf 10 après si vous ne l’avez pas fini :op.
Bref si vous avez toujours rêvé de refaire la pub du sucre chez vous, c’est le moment ou jamais. L’essayer c’est l’adopter !